La parole libérée

« Les choses sont souvent si simples, si évidentes. Seuls nous, avons l’art de les compliquer. » Une histoire d’amour improbable Il était une fois un jeune homme, très beau, très sûr de lui, porté par des valeurs de justice, de courage et d’authenticité, qui rayonnait d’une belle énergie et qui avait grandi dans un milieu sécurisant, fait d’amour, de partage et de bienveillance. Ce jeune homme, si riche de confiance en lui et en l’avenir, tomba amoureux d’une jeune fille, secrète et sauvage. Il ne le savait pas mais cette jeune fille avait grandi dans un univers à l’extrême opposé du sien. Elle était enfermée dans ses peurs et n’avait pas davantage confiance en elle que dans les autres. Mais, elle aussi était très attirée par ce jeune homme car elle ne pouvait qu’admirer toute l’énergie qu’il dégageait. Inconsciemment, elle aurait voulu lui ressembler, avoir autant confiance en elle, dépasser ses peurs et montrer autant de courage dans tout ce qu’elle faisa

Ce livre est un hymne à l’amour à l’état pur. Je profite de cet espace pour y transmettre des valeurs qui me sont chères, des messages d’amour universel contre la violence sous toutes ses formes, le harcèlement, la haine, le rejet, le racisme et l’antisémitisme. Je veux véhiculer ces messages le plus loin possible, par-delà les frontières, car si je n’avais pas porté et cultivé ces valeurs en moi, avec les traumatismes que j’ai endurés depuis mon enfance, il est probable que j’aurais été détruite, que je serais devenue moi-même une personne haineuse. Je veux aussi partager l’idée qu’il ne faut pas donner l’amour dans l’espoir de le recevoir car aimer n’est pas un acte égoïste, de même qu’il ne faut pas nourrir de la frustration et du ressentiment si on estime ne pas avoir assez reçu par rapport à ce que l’on a donné. Un jour, une jeune fille, qui détestait son père, s’est confiée à moi. Elle m’a dit : « Je le hais ! » Je lui ai alors dit : « Ne laisse pas la haine te détrui

Pendant longtemps, j’ai vécu dans une bulle sans vraiment m’inquiéter. Je vivais le moment présent sans me préoccuper de l’avenir. Comme la plupart des bons élèves, je ne m’inquiétais pas. Je croyais en l’ascenseur social même si je n’étais pas dévorée par l’ambition. Je croyais en mes chances de réussir même si malgré un très bon parcours scolaire, je n’avais pas développé une grande confiance en moi, sans doute entravée par une éducation trop rigide.  Je ne me préoccupais pas outre mesure des choix que je faisais et j’écoutais plutôt mes envies, peu consciente des enjeux et des difficultés que j’allais traverser. Aujourd’hui, je pense que j’aurais probablement dû faire d’autres choix, prendre d’autres décisions.  Mais comment aurais-je pu savoir, anticiper l'avenir ?  En effet, lorsque tout est fait pour maintenir les jeunes dans l’illusion, qui pourrait leur reprocher ensuite d’avoir fait les mauvais choix ? A quoi ou à qui doit-on imputer le chômage et la précarisation ? A

Je vous invite à découvrir mon recueil de nouvelles, Tout va bien, publié chez Edilivre. Il est disponible en ligne sur le site d'Edilivre ainsi que sur Amazon et  fnac.com. Pour vous donner envie de le lire, je partage avec vous le résumé et l'argumentaire rédigés par Edilivre. Résumé : Fébrile, une femme se plie aux règles du rituel convenu de l'entretien d'embauche. Alors même qu'elle semble rodée à l'exercice, on devine qu'un drame passé revient la hanter. L'attitude du futur patron lui remémore l'agression sexuelle commise par l'un de ses supérieurs. Trois autres nouvelles montrent des femmes en souffrance, à différents stades de leur vie. La figure féminine y est victime, que ce soit de la déliquescence de son vieux couple qui ne s'aime plus, des avances effroyables de son père ivre, ou encore de son amant qui épouse sa meilleure amie. Un texte fait exception, qui propose la vision moins sombre de jeunes hommes éprouvant